Administration du vaccin AstraZénéca aux populations : Le Professeur Philippe Noudjenoumé écrit à Talon et propose

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Dans une lettre ouverte au Président de la République du Bénin, Patrice Talon, au sujet de l’administration du vaccin AstraZénéca aux populations, le Professeur Philippe NOUDJENOUME écrit à Talon et lui fait une proposition.

Le Professeur Philippe Noudjenoumé s’inspire du fait que me fameux vaccin Astra Zeneca offert à notre pays cause déjà des ravages dans le monde et amène des pays et non des moindres tels le Danemark l’Islande la Norvège, la France, l’Allemagne, l’Irlande, la Bulgarie, l’Autriche etc. à stopper leur utilisation « par précaution ».Il demande au Président de la République s’il pourra « nous affirmer que tout ce qui se dit à propos de ces vaccins anti-COVID vous est inconnu ?

Et pour ce faire,  le Professeur Philippe Noudjenoumé « prie Monsieur le Président de la République, de surseoir, par principe de précaution, à ce projet de vaccination anti-Covid-19 aux conséquences graves pour la santé de la population de notre pays ». Il se base sur le principe selon lequel, « tout vaccin avant d’être injecté à la population, doit subir un contrôle par un Comité Scientifique et de Bioéthique (indépendant) constitué de biochimistes, de virologues, de médecins etc. chargé de contrôler tous les vaccins et d’en publier les résultats avant toute inoculation au Bénin ». Lire l’intégralité de la lettre ouverte du Professeur Philippe Noudjenoumé.

La Rédaction

 

Philippe NOUDJENOUME*

Premier Secrétaire du PCB*

Président de l’Alliance Pour la Patrie*

Lettre Ouverte*

*A*

*Son Excellence Patrice TALON*

*Président de la République, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement

Cotonou.

*A PROPOS DE L’IMPOSITION A LA POPULATION BENINOISE DU VACCIN CRIMINEL DIT ANTI-COVID-19

Monsieur le Président de la République,*

Le 10 mars 2021, le Ministre de la santé, Benjamin HOUNKPATION a accueilli à l’aéroport de Cotonou, en présence des représentants de l’UNICEF et de de l’OMS, «  la première dotation en vaccin AstraZénéca Oxford, dans le cadre de l’initiative COVAX, de 144.000 doses avec du matériel d’inoculation ». La représentante de l’UNICEF au Bénin indique qu’un total de « 792.000 doses de ce vaccin sera acheminé au Bénin d’ici mai 2021 ». A la réception de cette cargaison, le ministre de la Santé complète: « en plus des 792.000 doses offertes grâce à l’initiative COVAX, le Bénin a acquis d’autres doses de vaccin sur le budget national », afin de couvrir « à terme au moins 60% de la population pour prétendre à l’immunité collective ». (Cf. La Nation du 11 mars 2021).

Ainsi, malgré tout ce se dit, malgré toutes les protestations étayées d’arguments solides que cette histoire de vaccin anti-Covid-19 n’est qu’un gros montage des grandes industries pharmaceutiques épaulées par l’OMS pour décimer l’humanité à commencer par la population africaine, votre Gouvernement fonce tête baissée dans le crime.

*Monsieur le Président de la République,

Est-il besoin de rappeler à votre auguste attention les faits que voici :

1-« Sur la chaîne française de Télévision LCI en date de 2 avril 2020, Jean- Paul MIRA professeur de médecine et Chef Service Réanimation de l’Hôpital Cochin de Paris, et LOCHT, Directeur de Recherche à l’INSERM (Institut National de Recherche et d’Etudes Médicales) » avaient déclaré qu’ils iront tester des vaccins anti-CORONAVIRUS en Afrique et faire ainsi des Africains, des « rats de laboratoire » pour les grandes industries pharmaceutiques. Face au lever de bouclier de l’opinion mondiale et notamment béninoise contre cette intention criminelle, le porte-parole de votre gouvernement avait déclaré à cette époque : « qu’il ne sera pas question qu’on vienne expérimenter … de vaccin aux résultats aléatoires sur la population béninoise ».

2-Une Conférence tenue à Paris sur la population noire africaine faisait déclarer à Bernard LUGAN, l’un des organisateurs de la conférence, historien et professeur agrégé d’histoire africaine ceci : « La croissance démographique en Afrique est une menace pour la civilisation européenne… Je ne recommande pas de larguer une bombe nucléaire sur l’Afrique, mais nous ne pouvons pas attendre de voir cette croissance démographique à côté de l’Europe. C’est un danger que nous devons prendre au sérieux ….Le Plan est de syndiquer plus étroitement les organisations privées et publiques dans les pays occidentaux pour fournir de l’argent et la logistique pour des actions plus rapides et plus efficaces pour freiner la croissance « effrayante » de la population africaine » (Réseaux sociaux Forum CPCM du 03/03/2020).

3°- Le 21 Avril 2020, au regard de tous ces constats, dans une adresse au Peuple du Bénin et à l’opinion publique internationale intitulée « Le Bénin ne servira pas de terre d’expérimentions de vaccin anti-COVID.19 et de vaccins mortels des Impérialistes ! », je soulignais tous les exemples démontrant que manifestement des actions sont menées sous la direction des grandes firmes, en vue de la réduction de la population africaine, réduction voulue dans des déclarations publiques par maints dirigeants de grands pays, et que cette histoire de vaccin anti-Covid, tout comme d’autres vaccins à la mode de l’OMS, tendent tous à ce même objectif.

4°- Je dis et je répète que cette histoire de vaccin anti-COVD-19 est cousue de fil blanc et défie toute logique et raison. Il suffit de se poser les questions suivantes pour découvrir la fausseté de ce que l’on veut nous faire accroire. Si le masque protège contre le Coronavirus, pourquoi l’obligation d’observer la distanciation de 2 mètres ? Si 2 mètres de distance fonctionne et peut éloigner le risque de contamination, pourquoi encore porter le masque ? Dans le cas où les deux (masque et distanciation de 2 mètres), suffisent à protéger, pourquoi alors « le confinement » ? Et si les trois fonctionnent (masque, distanciation, confinement), alors pourquoi le vaccin ? Si le vaccin est inoffensif, pourquoi les laboratoires ont-ils négocié une clause de non responsabilité ? Autant de questions sans réponses logiques. Selon les statistiques officielles, au Bénin, seulement 6501 cas de contamination et 81 décès ont été recensés à mars 2021 sur une population de 12 millions d’habitants. Une telle proportion de décès que cause cette maladie du COVID-19 autorise-t-elle que l’on vaccine la population (60%) avec les risques graves qu’un vaccin précipitamment préparé peut entrainer à l’organisme humain ? Non ; derrière ces empressements, il y a sans aucun doute des intentions criminelles.

5°- D’ailleurs devant nous, ce fameux vaccin Astra Zeneca offert à notre pays cause déjà des ravages dans le monde et amène des pays et non des moindres tels le Danemark l’Islande la Norvège, la France, l’Allemagne, l’Irlande, la Bulgarie, l’Autriche etc. à stopper leur utilisation « par précaution ».

Monsieur le Président de la République,

Il y a des choses que l’on raconte et qui serait à peine croyable pour qui a quelque peu de sentiment d’humanité à l’égard de son prochain et surtout lorsque l’on est en charge de la conduite de la destinée d’un pays, d’une population. Pouvez-vous nous affirmer, M. le Président de la République, que tout ce qui se dit à propos de ces vaccins anti-COVID vous est inconnu ? Quelle force ou quelle pression extérieure, compte tenu de votre position de chef d’Etat, expliquerait que malgré ces cris de détresse du monde, vous vous obstiniez à poursuivre ce qui pourrait apparaitre comme un crime de masse contre votre population, un empoisonnement public, un crime contre l’humanité ?

Vous nous direz que d’autres Etats africains ou d’ailleurs se sont engagés dans la même voie. Mais ces exemples constituent une honte pour l’Afrique plutôt qu’un modèle.

Au regard de ce qui précède, je vous prie, Monsieur le Président de la République, de surseoir, par principe de précaution, à ce projet de vaccination anti-Covid-19 aux conséquences graves pour la santé de la population de notre pays.

Je dis que tout vaccin avant d’être injecté à la population, doit subir un contrôle par un Comité Scientifique et de Bioéthique (indépendant) constitué de biochimistes, de virologues, de médecins etc. chargé de contrôler tous les vaccins et d’en publier les résultats avant toute inoculation au Bénin. Sans cette précaution, toute personne aura le droit de s’opposer à de telles opérations de vaccination non contrôlées et dores et déjà, je demande à la population de ne pas accepter le vaccin anti-Covid-19 déversé dans nos pays à des fins criminelles.

*Monsieur le Président de la République,*

Il est probable que ma démarche qui n’est que celle de bon sens et d’humanité, soit perçue par vous, vos services et ceux qui vous font agir, comme tombant sous le coup des diverses incriminations puisées des panoplies de vos diverses lois répressives et que je sois poursuivi dans ce sens à l’instar d’un SOHOU Brice, emprisonné ces derniers jours, pour vous avoir écrit à propos du vaccin anti-COVID et contesté l’innocuité du masque pharmaceutique.

Mais cela ne peut ébranler, et je ne puis me dérober à ce qui apparait comme ma responsabilité et un devoir en tant que citoyen et homme politique attaché à la vie des hommes de ce pays. Nous n’allons pas nous laisser assassiner bêtement. Nous n’allons pas accepter qu’un gouvernement conduise sa population à la mort collective.

Le Bénin ne servira pas de terre d’expérimentions de vaccin anti-COVID.19 et de vaccins mortels des impérialistes !

Je vous prie de croire, Monsieur le Président de la République, en l’expression de mes sentiments humanistes et patriotiques.

 

Cotonou, le 16 Mars 2021.

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