Talon invité de RFI et TV5 ce dimanche

Politique

Elu en avril 2016 à la tête du pays, Patrice Talon est l’invité ce dimanche 22 avril 2018 de la presse internationale deux ans après sa prise de fonctions. Au menu de l’entretien, le bilan de deux ans de gestion du pouvoir d’Etat et surtout les réformes promises au peuple béninois.

Le chef de l’Etat, Patrice Talon à l’honneur sur la presse internationale. Ce dimanche 22 Avril 2018 à 11h 10mn, le président de la République du Bénin est l’invité de TV5MONDE, Radio France Internationale (RFI) pour une émission exceptionnelle enregistrée à Cotonou, capitale économique du Bénin. Le lendemain, le même jour sur son site internet et le lendemain sur tabloid, le journal français « Le Monde » livrera à ses lecteurs les fruits de son entrevue avec le chef de l’Etat béninois et ses investigations à Cotonou.

Quel avenir pour le Bénin, pays souvent présenté comme la vitrine de la démocratie en Afrique francophone? C’est l’une des préoccupations de nos confrères de ces organes étrangers au cours de l’entretien avec le chef de l’Etat. Les principaux sujets sur lesquels le chef de l’Etat sera interrogé au cours de cet entretien sont : la lutte contre la corruption, le développement économique et le renforcement de l’Etat de droit.

Sur TV5 Monde ce dimanche dans Internationales avec Françoise Joly, Sophie Malibeaux (RFI) et Francis Kpatindé (Le Monde), Patrice Talon se prononcera également sur les réformes promises au peuple et qui sont contenues dans le PAG et dont certaines connaissent déjà leur concrétisation et d’autre un début de réalisation.
Patrice Talon était l’invité ce vendredi 23 mars 2018 de RFI. Au micro d’Olivier Rogez, il s’est prononcé notamment sur le ferroviaire dit boucle du Niger. Le président de la république a alors souhaité que les groupes Bolloré et Petrolin renoncent au tronçon Bénin-Niger dudit projet ferroviaire. Pour Patrice Talon, un tel projet devrait être mené sur fonds publics. Il souhaite que la Chine puisse s’y impliquer. Patrice Talon, en personne, a voulu défendre sa vision de la boucle du Niger.