Bénin : L’homme ayant ligoté sa femme à Zè déposé en prison

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Il a battu sa femme car il aurait engrossé sa maîtresse et décide de la faire venir sous son toit conjugal. Sa femme n’étant pas d’avis, il le ligote, torse nu. L’homme auteur de cet acte crapuleux à Zè est déposé en prison.

Depuis quelques jours, il circule  sur la toile, l’image d’une dame torse nu, ligotée, allongée au sol. Les faits se sont déroulés dans la matinée du 1er Mars 2022 dans un village de l’arrondissement centrale de la commune  de Zè. Après une altercation au sein du couple, l’homme (la quarantaine) a ligoté sa femme (la trentaine).

Le quadragénaire qui a battu sa bienaimée de la trentaine a été déposé en prison le mardi 1er  Mars 2022. Son procès n’est pas encore programmé.

En effet, selon le témoignage de l’entourage, la dame aurait été battue par son homme après une dispute. Selon les explications du secrétaire particulier  du maire de la commune de Zè, Pierre.K, l’image de la femme maltraitée par son mari qui circule sur les réseaux sociaux est bien effective. « Cela s’est passé dans la commune de Zè dans un village de l’arrondissement centrale». D’après les informations, la victime est prise en charge par le centre social de la commune et se porte bien. Par contre, le coupable est déposé en prison. «Actuellement le procureur s’est saisi du dossier, le mari auteur de cet acte crapuleux est déjà déposé en prison à Dangbo, la femme elle est sous traitement intense au centre de santé communal de Zè », informe le secrétaire particulier du maire. Selon le secrétaire qui est intervenu sur Frisson radio, cet acte ignoble de l’homme serait dû à son infidélité car ce dernier a engrossé une maîtresse en-dehors de son couple à qui il  voulait accorder une place dans son foyer. « Le motif qui serait à la base de cette bagarre serait lié au fait que le mari aurait enceinté une autre femme au dehors qu’il aurait dû faire venir sur le toit conjugal contre le consentement de madame.  N’ayant pas une entente entre les deux, la bagarre est survenue ce qui a conduit à cet acte crapuleux que nous déplorons aujourd’hui ».

M.A.Y