Les preuves des allégations mensongères contre Isaac AHIVODJI

Politique

Monsieur Isaac AHIVODJI défie toute autorité de la police Républicaine qui prouverait le contraire. La livraison à l’Armée et la Police de matériels de communication dont il a obtenu dans le passé le marché ne souffrent d’aucune insuffisance. Les preuves sont là, irréfutables et le témoignent. Ces détracteurs l’accusent maladroitement. Et pour cause.

Qui veut tuer son chien l’accuse de rage. C’est l’adage qui traduit mieux les allégations mensongères dont Monsieur Isaac Aivodji est la cible depuis quelques jours dans le fameux dossier de livraison de matériels de communication à l’Armée et la Police. En effet, selon nos recoupements, les matériels livrés en 2008, 2009, 2010 et 2011 demeurent les seuls matériels fonctionnels et de bonne qualité que la police utilise à ce jour. Cela étant, Monsieur Isaac Aivodji « défie toutes autorités de la police qui dira le contraire ». Il explique preuves à l’appui : « J ai exécuté les marchés, les matériels livrés et réceptionnés par une commission interministérielle conformément aux contrats avec formation au Centre de transmission militaire d’Abomey-Calavi pour l’Armée, la police et la gendarmerie ». Il précise en outre que « les matériels ont une garantie d’un an. Après un an, c’est la police qui assure la maintenance. J ai livré le dernier marché en 2011 qui fonctionne à ce jour sans entretien », souligne-t-il. Voilà qui est désormais clair. De sources concordantes, et comme rien n’est caché sous le soleil, c’est un inspecteur de police qui est au service transmission et qui roule pour une société distributeur d’une marque dont nous taisons le nom pour le moment qui sabote les installations de monsieur Isaac Ahivodji pour imposer ladite société à la police. Pis, en dépit de l’autorisation des essais du matériel de la société en question par les autorités de la police, cette société en question n’a pas pu obtenir le dernier marché en cours qui se chiffre à des milliards, apprend-on. C’est donc pour se venger que cette société utilise cette mauvaise voie, celle du sabotage. Ce faisant, les commis à son service suscite l’acquisition de nouveaux matériels et trompent le Chef de l’État qui suit personnellement le dossier. Wait and see.

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