47e Assemblée générale de la CPCCAF : Adjara Diouf défend les actions et  projets de l’OIF en faveur des femmes

Société

Une des participations  très actives à la session de la 47è  assemblée générale de la CPCCA, c’en était une. Adjara Diouf, et puis que c’est d’elle qu’il s’agit, est la représentante de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) aux assises de Cotonou du mardi 9 au vendredi 12 mai 2023. La tonitruante dame de l’institution, qui regroupe 88  pays ayant  le français en partage a révélé du talent.

Adjara Diouf n’est pas du tout  passée inaperçue lors des assises de la 47è session de l’assemblée générale de la CPCCAF tenue au Palais des Congrès de Cotonou au Bénin. En prononçant son discours et  ses communications avec l’éloquence qu’on lui connaît, Adjara Diouf n’est pas allé par quatre chemins pour passer  au peine fin les philanthropiques actions et projets mis en œuvre  en faveur de l’entreprenariat féminin dans l’espace francophone. Une batterie de programmes et projets qui sont à l’actif de l’OIF pour booster la création et le développement des entreprises. Elle a émerveillé les femmes à la Rencontre d’Affaires Francophones et Africaines (RAFA). A cette même occasion, Adjara Diouf a mis en point de mire les ambitieux  projets de l’OIF en vue de faciliter l’adhésion massive des femmes entrepreneures à la vision de l’institution.

Tenez-vous bien qu’à l’atelier des femmes de la CPCCAF de Cotonou, les partenaires ont dévoilé les  projets concoctés en faveur des membres de  la CPCCAF. Mais quant à Adjara Diouf, c’est avec brio qu’elle a défendu et présenté tout ce que l’OIF projette pour permettre à la  femme de relever les défis de la problématique de  l’entreprenariat féminin. La cheffe du pôle « Innovation, Insertion, entrepreneuriat et emploi » ce cadre distingué de la Direction de la Francophonie Economique et Numérique a séduit la cohorte de femmes présente au Palais des Congrès de Cotonou. Elle a mis à l’index un pôle de projets de l’OIF qui contentent ces femmes qui  n’ont pas tari de mots pour  exprimer leurs sentiments de fierté et de reconnaissance   au regard de l’attention dont elles font l’objet à l’OIF. Adjara Diouf se réjouis de sa participation aux assises du Palais des congrès de Cotonou  et note la dévotion des femmes de mener le combat afin d’évoluer et de passer à l’échelle. Elle relève que les projets  de l’OIF ont impacté favorablement plus de 62% des femmes inscrites.

Il n’en demeure pas moins réconfortant de saluer le parcours de ces femmes assujetties à la problématique de la femme dans les affaires. C’est pourquoi, il est important, selon Adjara Diouf, de leur accorder et aussi qu’elles  exigent plus de formation, plus de visibilité et plus de réseautage.

V.C. H.