Promoteur du laboratoire GBE au Bénin : Raphaël Tchidimè participe à la COP 28 à Dubaï

Santé & Culture

Le phytothérapeute Raphaël Tchidimè, promoteur du laboratoire GBE au Bénin, est à Dubaï aux Emirats Arabes Unis. Il fait parti des invités à la COP 28 qui se tient du 30 novembre au 12 décembre 2023.

Une nouvelle expérience pour Dr Raphaël Tchidimè.  La Cop 28 est pour le phytothérapeute un rendez-vous de partage d’expériences et d’expertise  avec les autres participants. Nul n’est sans savoir que la phytothérapie joue un rôle non négligeable dans la lutte contre les changements climatiques, mieux le réchauffement climatique.

L’objectif de la Cop 28 est de trouver des solutions à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et lutter contre les conséquences du changement climatique. La phytothérapie étant le traitement des maladies par les plantes médicinales, elle a son mot à dire pour contribuer à cet objectif.
Selon les informations, Dr Tchidimè pourrait développer  au cours d’un panel les différentes pratiques de la phytothérapie  en Afrique, et comment elle peut  participer à la préservation des ressources naturelles et au  respect de l’écosystème et la préservation de la biodiversité.

On apprend que dans son plaidoyer, Dr Rapjael Tchidimè va inviter les décideurs à soutenir la phytothérapie qui est une alternative pour la médecine moderne dans le traitement des pathologies. Ce 1er décembre, journée internationale de lutte contre le Sida, Dr Tchidimè a échangé avec certains participants. Il a parlé de ses contributions dans la guérison du mal du siècle.

Les 22 ans de Vita Iron célébrés à Dubaï

Au détour de la COP 28, le phytothérapeute  Raphaël Tchidimè a profité de l’occasion pour célébrer  les 22 ans de Vita Iron. C’est un produit  à base de plantes médicinales pour  le traitement de l’anémie. A cette occasion. Raphael Tchidimè  a eu la compagnie du maire de la commune de Klouékanmey, M. Coffi Dieudonné Gbedjekan.
La Conférence de Dubaï de 2023 sur les changements climatiques, ou COP 28, est une conférence internationale de l’Organisation des Nations unies se déroulant du 30 novembre au 12 décembre 2023 à Dubaï aux Émirats arabes unis. Ce  samedi 2 décembre, durant la 28ème édition de la COP 28, à Dubaï, 116 pays se sont engagés à tripler la capacité des énergies renouvelables, dans le monde. L’Union Européenne va contribuer à hauteur de 2,3 milliards d’euros pour soutenir une transition mondiale vers une énergie propre.

Selon l’Agence internationale pour les énergies renouvelables, ces capacités mondiales d’énergies renouvelables sont pour l’instant dominées par l’hydraulique (37 %) et par le solaire (31 %).

 

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Écran de fumée pour les associations de défense de l’environnement

Le troisième jour de la COP28, à Dubaï, laisse plusieurs accords, insuffisants pour les associations de défense de l’environnement.

Malgré la cinquantaine de compagnies pétrolières, représentant près de la moitié de la production mondiale, qui s’est engagée à atteindre la « neutralité carbone » d’ici 2050, et à mettre fin au brûlage systématique de gaz d’ici 2030, pour réduire les émissions de méthane à près de zéro. Il s’agit d’un « écran de fumée », ont déclaré les groupes de défense de l’environnement.

Le méthane est le deuxième gaz à effet de serre, qui contribue au changement climatique après le CO2. Même si sa présence dans l’atmosphère dure moins longtemps. il a tout de même un pouvoir de réchauffement 80 fois supérieur au CO2 sur une période de 20 ans. Si environ 40% du méthane émis dans l’atmosphère provient de sources naturelles, dont la majorité est d’origine humaine, avec les émissions notamment de l’agriculture et de l’élevage, de l’exploitation des énergies fossiles, de la fermentation des déchets dans les décharges et de la combustion de biomasse.

Pour parvenir à atteindre ses objectifs, et lutter efficacement contre le réchauffement climatique, la présidente de l’Union Européenne estime qu’il faudrait réunir un fond de 100 milliards de dollars cette année. À ce jour, l’ Europe contribue à hauteur de plus de 270 millions de dollars. Au cours des deux prochaines années, l’UE investira 2,3 milliards d’euros pour soutenir une transition mondiale vers une énergie propre.