Les nouvelles réformes de Yayi réduisent les risques de corruption

Economie & Tech

Les risques de corruption sont désormais réduits au Port de Cotonou. Pour le bonheur des usagers. Toute chose possible grâce aux nouvelles réformes du chef de l’Etat, Dr Boni Yayi. Ces nouvelles réformes ont drastiquement réduit les risques de corruption.

Les faux frais qui résultent du contact avec l’administration sont désormais éliminés. Tout cela réduit les risques de corruption. On peut citer la dématérialisation de près de trente (30) autorisations, permis, licences ou certificats avant les étapes proprement dites d’importation, exportation ou de transit.
Grâce à la mise en place d’une plateforme électronique, dénommée « GUOCE – BENIN », aujourd’hui les commissionnaires agréés en douane (CAD) ou transitaires n’ont plus besoin de se déplacer d’administration en administration pour collecter le support papier desdites autorisations. Il leur suffira juste de déclarer sur le site « www.guocebenin.bj » la nature de l’opération. Ce faisant, les administrations concernées par ladite opération sont électroniquement saisies en temps réel et elles produisent immédiatement les autorisations nécessaires dont l’importateur ou l’exportateur a besoin.

Les nouvelles réformes du chef de l »Etat ont pour impact la réduction des délais pour accomplir les formalités de pré-dédouanement de plus de 2 semaines en moyenne, à une fourchette de 1h à 48h au plus. Cela dépend de la nature du produit importé, exporté ou en transit.
Les nouvelles réformes font également réduire les risques de corruption. Ceci à travers l’élimination des faux frais issus du contact avec l’administration.
Les nouvelles réformes consolident désormais les gains en compétitivité qu’avait déjà gagné le port de Cotonou en facilitant le passage portuaire des marchandises qui se fait aujourd’hui à 5 jours en moyenne, contre 32 jours, il y a 2 ans. Non seulement les réformes ont réduit les risques de corruption mais elles permettent aussi de gagner du temps.

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