(« Je ne soutiens aucun parti contre l’autre, surtout que je sais, qu’en nous combattant, nous nous fragilisons », dit-il).
« Je ne soutiens aucun parti contre l’autre, surtout que je sais, qu’en nous combattant, nous nous fragilisons », dit-il ». Message du numéro 1 des Sages de la ville de Porto-Novo, Karim Urbain da Silva parvenu à notre rédaction dans la soirée de ce mardi 10 mars. Dans ce message, Karim da Silva apporte des précisions sur la séance de travail du samedi 15 Février 2020 avec des leaders du parti Union Progressiste à Porto-Novo. Il fait une mise au point sur l’article paru dans nos colonnes, au sujet du soutien des sages de la ville et de leur président Karim da Silva, à l’UP. Lire le message.
« Mise au point sur l’article paru dans le journal « les « 4Vérites », au sujet du soutien des sages de la ville et de leur président papa Karim da Silva, à l’Union progressiste.
J’ai découvert, avec grande surprise, le compte rendu qui a été fait par le journal « Les 4Vérites », sur ma rencontre avec l’Union progressiste.
Tout d’abord, c’est le Conseil des Sages de la ville qui a reçu l’Union progressiste.
La même démarche avait déjà été faite, sans tambour ni trompette, avec le Bloc Républicain. Je leur avais alors dit, que l’objectif principal n’est pas de nous disputer entre nous, mais de prendre soin de l’intérêt commun pour le promouvoir.
C’est donc une démarche de sensibilisation que nous, les sages de la ville, avions entreprise, pour la recherche de la paix, dans la fraternité. C’est dans ce but, que j’ai reçu les républicains, d’abord, et ensuite, l’Union progressiste. Nous leur avons prodigué de sages conseils.
Nous n’avons, et à aucun moment, soutenu l’un des deux (2) partis contre l’autre. Nous n’avons soutenu aucun parti contre l’autre. Nous les soutenons, tous les deux, et les exhortons à ne pas adopter une logique et une attitude d’affrontement.
Je voudrais renvoyer, les uns et les autres, au message, que j’ai tenu à faire passer, sur cette affiche que j’ai confectionnée, pour les élections législatives.
Ce message était le suivant: « Si tu n’es pas progressiste, sois au moins républicain afin qu’ ensemble, nous participions à l’œuvre de reconstruction nationale ».
C’est donc dire, et je le répète, que je ne soutiens aucun parti contre l’autre, surtout que je sais, qu’en nous combattant, nous nous fragilisons.
Notre devoir, c’est d’aider le président, à réussir sa mission, et donc, nous entendre d’abord.
Il n’y a rien de productif à obtenir, il n’y a rien à gagner, en étant l’un contre l’autre. Alors, par patriotisme, tout naturellement, soyons dans la concorde, pour la paix, et non, divisés ».
Karim Urbain da Silva