Du nouveau dans l’arène culturelle au Bénin : Le film « Mon Identité » de l’actrice chanteuse Glory Zossoungbo lancé

Santé & Culture

Dans la soirée du dimanche 08 mars 2020 à la Maison du peuple d’Agla, a eu lieu le lancement officiel du films ‘’Mon Identité’’ de   l’actrice chanteuse Glory ZOSSOUNGBO, de son vrai nom Gloria Mariette ZOSSOUNGBO.

 

La femme noire de peau est une vraie femme africaine, et la beauté de la femme africaine ne se résume pas à la couleur de sa peau. De nos jours, la plupart des femmes noires de peau n’aiment plus maintenir la couleur naturelle de leur peau et s’adonnent à l’utilisation des produits pour décolorer la peau.

En effet,  la dépigmentation de la peau noire est devenue monnaie courante dans le commun des femmes noires de peau. C’est dans le but de faire comprendre aux femmes d’ébène, de teint noire  la valeur de leur peau que l’actrice chanteuse Glory ZOSSOUNGBO a eu à réaliser son 1er film intitulé « Mon Identité ».

Le film « Mon Identité » reflète les conséquences de la dépigmentation et suggère aux femmes noires de maintenir leur peau qui est une peau recherchée.

« La femme africaine est une femme naturellement belle et de surcroît, le teint noir est un teint recherché. Moi je suis fière de mon teint noire, raison pour laquelle je sollicite mes sœurs et mères à travers mon film « Mon Identité »  à maintenir ce teint et d’en être fière, car se dépigmenter est en quelque sorte insulter son créateur. Les conséquences de la dépigmentation sont énormes, elle cause la stérilité, le cancer de peau, les visa à deux couleurs etc… », explique l’actrice.

En effet, c’est pour plaire aux hommes et attirer l’attention que certaines femmes se dépigmentent. « Il y a de ces hommes qui disent n’aimer uniquement les femmes claires de peau et qu’elles sont plus belles que les femmes noires de peau, raison pour laquelle les femmes aiment se dépigmenter. Moi en tant qu’homme je ne peux jamais avoir comme femme celle qui se dépigmente, car ce sont des malades ambulantes et elles ont aussi des mauvaises odeurs corporelles. La femme de teint noire est d’une beauté qui ne dit pas son nom », apprécie monsieur Coffi, spectateur au lancement du premier film de Glory Zossoungbo.

 

Carine DJIGUI (Coll)

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