Rappelé à Dieu  le 20 mai 2025 dans sa 74ème année : Parents et amis rendent un hommage mérité à feu Dr Barthélémy Amidjogbé à Paris

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Rappelé à Dieu le mardi 20 mai 2025 dans sa 74ème année à Paris, Dr Barthélemy AMIDJOGBE a eu les honneurs dignes de son rang  à l’occasion des obsèques. Une messe de recueillement s’est tenue, mercredi 28 mai 2025 à l’église protestante méthodiste du Bénin, temple « Cité de grâce» de Djeffa. Cette célébration s’est tenue simultanément avec la cérémonie d’hommage organisée à l’intention du regretté à Paris. Au nombre des parents et amis présents à Paris ce mercredi 28 mai 2025, le Professeur François Adebayo ABIOLA. Les visages étaient marqués surtout par la tristesse, celle de la perte d’un parent, d’un ami qui nous quitte en  laissant un projet inachevé. Aux obsèques à Avrainville le 28 mai dernier,  parents et amis ont rendu hommage  à feu Dr Barthélémy Amidjogbé à Paris. Ci-dessous l’hommage rendu au regretté Feu Dr Barthélémy Amidjogbé, gynécologue obstétricien et diplômé de l’Université Cheikh Anta Diop.

 

HOMMAGE DE PARENTS ET AMIS À FEU Dr Barthélémy AMIDJOGBÉ À PARIS

Rappelé à Dieu à l’hôpital d’Étampes en région parisienne le 20 mai 2025, un hommage a été rendu par ses parents et ses amis à feu Dr Barthélémy Amidjogbé. C’était lors de ses obsèques à Avrainville le 28 mai dernier.

Feu Dr Barthélémy Amidjogbé, gynécologue obstétricien est diplômé de l’université Cheikh Anta Diop, celui-là même qui a repris ses études médicales une fois à Paris à l’époque afin de pouvoir exercer son métier dans plusieurs hôpitaux de Paris comme Dourdan et Rambouillet.

Il ouvrit une clinique privée à Draveil il y a une quinzaine d’années avant de décider de venir faire la même chose à Cotonou.

Objectif et courage, deux mots qui te caractérisent pour faire court devait commencer le professeur François Adébayo Abiola, présent au crématorium de Avrainville pour la circonstance à l’entame de son adresse.

Puis de continuer avec quelques anecdotes :

Homme des escaliers comme tu te définissais souvent car pour toi, il y a ceux-là qui ont leur insertion sociale par l’ascenseur mais que toi fils de Djeffa tu as dû pour arriver utiliser les escaliers.

Médecin gynécologue obstétricien diplômé de l’université de Dakar, j’ai décidé m’as-tu confessé de venir à Paris non pas pour me complexer permanemment mais pour être praticien médical méritant la considération et le respect de tous. Donc si on me demande de reprendre les études de médecine ici à Paris avec mes enfants sur les bancs de faculté, je vais le faire.

 

Et tu l’as fait.

 

Praticien médical, je le resterai jusqu’à ma retraite ici à Paris mais je dois servir aussi les béninois. Je vais donc ouvrir une clinique privée de gynécologie à Cotonou avec tous les plateaux techniques qui vont avec.

 

Et tu l’as fait.

 

J’ai eu toutes les autorisations administratives mais le Cop, attends je vais pour un contrôle médical à Paris, à mon retour nous allons inaugurer la clinique.

 

Ça par contre tu n’as pas pu le faire.

 

Moi je continuerai à vivre le souvenir de cet ami, ce frère que tu as été pour moi depuis que nos chemins ont commencé à se croiser en 1975 à l’Université de Dakar et surtout cette longue complicité née dans nos confidences du pavillon B, toi chambre 39 et moi chambre 8.

Les autres continueront à pleurer cet homme, ce médecin, ce voisin si généreux et si disponible que tu étais pour eux.

Mes sincères condoléances à toutes les familles Amidjogbé et Gbènamèto de Djeffa et également à tous les Béninois ainsi qu’à tous ses amis ici en France.

Quant à vous, Alice, Kévin et les autres  enfants, je vous demande d’être fiers de votre père.

Il a laissé un projet inachevé.

Je serai toujours à vos côtés.

Le Cop puisqu’il faut m’arrêter, puisse Dieu te pardonner tes péchés et qu’il t’ouvre son royaume.

Vas et que ton âme repose en paix.