AÏD EL KEBIR: « nous sommes dans une année de grâce… »

Chronique

AÏD EL KEBIR

Les médias ne nous ont pas inondés, cette année, d’images de complaintes sur une envolée du prix du mouton à Sèkandji, ou de vendeurs qui déplorent la mévente. La frontière avec notre principal pourvoyeur, le Niger, demeure pourtant désespérément fermée. Essayons de comprendre.

Première hypothèse : nous sommes dans une année de grâce. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Deuxième hypothèse : les problèmes sont toujours là, mais les journalistes faiseurs de ces reportages annuels, ne se fatiguent plus, sachant à qui ils ont affaire. L’un mis dans l’autre…bonne fête du Kebir à nos frères mahométans.

( D’après une chronique de Tiburce ADAGBE)