« La Liberté , Lumière intérieure, promesse partagée » est le titre de la chronique de cette semaine de madame Christhelle Houndonougbo Alioza (CHA). « Être libre, ce n’est pas seulement ouvrir une porte : c’est savoir pourquoi on la franchit. » selon Amélie Nothomb. Pour l’auteure, « La liberté, lorsqu’elle s’allie à l’amour, au respect et à la solidarité, devient source de guérison collective. Elle nous réconcilie avec nous-mêmes, avec les autres, avec la vie. Elle n’oppose pas, elle relie. Elle n’élève pas les voix contre, mais les consciences ensemble. Alors en cette nouvelle semaine, que chacun, chacune, fasse de sa liberté une offrande de lumière », convie CHA.
Chères amies, chers amis,
Dans le tumulte de nos existences rythmées par les urgences, les attentes et les défis, il est des moments où il nous faut marquer un temps d’arrêt. Non pas pour fuir le monde, mais pour mieux en saisir le sens. Pour écouter ce qui, en nous, appelle à l’élévation. Et cette semaine, je vous invite à méditer sur une valeur essentielle, source de dignité et d’espérance : la liberté.
La liberté n’est pas seulement un droit inscrit dans les lois ; elle est une lumière intérieure, un souffle sacré qui donne à chaque être humain sa pleine stature.
Être libre, c’est pouvoir se tenir debout, digne, fidèle à soi-même et ouvert à l’autre. C’est penser sans contrainte, parler sans peur, choisir sans pression. C’est rêver, créer, aimer, sans entrave ni honte. La liberté n’est ni un luxe, ni une faveur. Elle est le socle invisible de toute vie authentique, le ferment de toute société vivante.
Et pourtant, trop souvent, nous oublions qu’elle est fragile. Trop souvent, nous croyons qu’elle va de soi. Mais la liberté se cultive, s’apprend, s’entretient dans nos familles, nos cercles professionnels, nos engagements citoyens. Elle demande du courage, de l’écoute, et surtout, du respect.
« La liberté est la possibilité de s’épanouir sans craindre de se perdre. » indique Édouard Glissant
La liberté véritable n’exclut pas l’autre : elle l’embrasse. Elle ne nie pas les règles : elle leur donne sens. Car être libre, ce n’est pas faire tout ce que l’on veut, c’est pouvoir choisir ce qui est juste, ce qui élève, ce qui unit. Une liberté sans conscience devient ruineuse ; une liberté éclairée par la responsabilité devient une bénédiction partagée.
Prenons un exemple concret : dans une école où les élèves sont encouragés à exprimer leurs idées, à proposer des projets, à questionner sans peur, on observe une nette amélioration de leur engagement et de leurs résultats. Cette liberté d’expression, encadrée par des règles claires et bienveillantes, développe leur esprit critique, leur autonomie, et surtout, leur confiance. Là où la parole est libre et respectueuse, l’intelligence fleurit, la citoyenneté s’enracine.
Quand un enfant peut s’exprimer sans crainte, il apprend la confiance.
Quand un collaborateur est respecté dans sa singularité, il révèle sa créativité.
Quand une famille, une communauté, une nation protège la liberté de chacun, elle construit la paix de tous.
« Être libre, ce n’est pas seulement ouvrir une porte : c’est savoir pourquoi on la franchit. » selon Amélie Nothomb
La liberté, lorsqu’elle s’allie à l’amour, au respect et à la solidarité, devient source de guérison collective. Elle nous réconcilie avec nous-mêmes, avec les autres, avec la vie. Elle n’oppose pas, elle relie. Elle n’élève pas les voix contre, mais les consciences ensemble.
Alors en cette nouvelle semaine, que chacun, chacune, fasse de sa liberté une offrande de lumière.
Qu’elle devienne un espace de dialogue, un pont vers l’autre, un souffle de paix.
Et que nos paroles, nos gestes, nos choix soient des semences de bienveillance et de grandeur.
Que cette semaine soit belle, libre, et profondément humaine.
CHA.
Femme Noire, Femme de Pouvoir!
Femme de paix! Femme d’avenir !