Eglise du christianisme céleste du Bénin : Voici la composition du Bureau exécutif appelé à conduire les réformes

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Le Conseil supérieur de transition de l’Eglise du christianisme céleste du Bénin a tenu sa première réunion, jeudi 08 mai 2025, en présence du Chef de l’Etat Patrice Talon. A l’occasion, les membres du Bureau exécutif appelé à conduire les réformes ont été désignés.

On notait à l’ouverture de la première réunion du Conseil supérieur de transition de l’Eglise du christianisme céleste du Bénin, la présence du chef de l’Etat, Patrice Talon. Il tient à l’aboutissement du processus. Démarrés le 8 mai, les  travaux prennent fin ce vendredi 9 mai 2025. C’est la première réunionaprès l’installation officielle du Conseil supérieur de transition, le 26 avril dernier, par le Chef de l’Etat.

les membres du CST ont procédé à la désignation des membres du Bureau exécutif appelé à conduire les réformes

À l’issue de cette séance, les membres du CST ont procédé à la désignation des membres du Bureau exécutif appelé à conduire les réformes. À la tête de cette équipe restreinte de sept personnalités, le Général de division Bertin Bada a été nommé Coordinateur général, en sa qualité de représentant du chef de l’Etat au  sein du Conseil.

 

La composition du Bureau exécutif appelé à conduire les réformes  :

Coordinateur général : Bertin Bada

1er adjoint: Amoussou André

2e adjoint : Kokoye Sènou Jean

Rapporteur : Zannou Marcellin

Rapporteur adjoint : Oshoffa Olatosho

Trésorier : Ackah Kouamé

Trésorier adjoint : Midodji Comlan

 

Faut rappel, la mission essentielle  du CST est de restaurer l’unité au sein de l’Église du Christianisme Céleste, divisée ces dernières années par de multiples querelles internes. Il s’agira notamment de réorganiser les structures de gouvernance, de réviser les textes fondamentaux, et de préparer une nouvelle ère de stabilité et de légitimité, en respectant les valeurs spirituelles héritées du Prophète fondateur, le Révérend Pasteur Samuel Bilehou Joseph Oshoffa.  Le conseil dispose d’un délai de douze mois.

Armelle C. CHABI